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L'économie nationale repose en bonne partie sur l'exploitation des ressources pétrolières (en Amazonie), qui représentent près de la moitié des exportations. 
La pêche joue un rôle important dans l'économie et l’équateur est le principal exportateur de crevettes des Amériques (fermes d’élevages).
Premier producteur mondial de bananes, le pays possède d'importantes plantations de canne à sucre, de manioc, de mais, de riz, de pomme de terre, de café, de cacao et de citron.
On peut noter aussi l'essor de l'exportation des fleurs coupées (les roses d’équateur arrivent en France après avoir transité par la Hollande), de l'huile de palme et du célèbre chapeau Panama.
L'Équateur est un pays très touristique avec les îles Galapagos, les villes pré-colombiennes ou coloniales, ainsi que les chaînes de volcans.
Il y a 5 ans nous avons eu la chance de partir 2 mois au Pérou et nous sommes restés très attachés à l’Amérique Latine.
Voyageurs débutants, nous avions été initiés par le parrain de Tom et sa famille qui nous ont ouvert en grand les portes du Pérou … et du continent.
Nous sommes donc tous marqués par cette expérience… et nous en avons rapporté quelques convictions sur l’intérêt de ce type de voyage. (cf. article de Noël)
Cette année nous repartons, pour découvrir aussi le pays de notre ami Guido. 2009 s’imposait par les contraintes scolaires ou professionnelles des uns et des autres. Et comme Guido y retourne en hiver, ce sera donc à Noël ! …ce qui nous donnera l’occasion de voyager à une autre période qu’en 2004.
Les attentes des uns et des autres sont diverses.
« Ecuador 2009/10 », ce sera l’occasion :
De découvrir l’univers de Guido…
Découvrir sa « casita » dont il nous a beaucoup parlé, dans un hameau du petit village de la Guangora tout près de Loja. Partager son style de vie, pouvoir nous émerveiller avec lui devant les fameux couchers de soleil sur les Andes… Faire connaissance avec sa famille et ses amis d’Equateur.
D’aller à la rencontre, de partager des moments simples du quotidien et les temps plus festifs. Nous immerger le plus possible dans la vie locale : faire les courses au marché, apprendre à cuisiner, des chansons de là-bas, etc., participer aux fêtes de Noël et du jour de l’an…
Nous cherchons à emporter dans nos bagages ce qui pourrait favoriser la communication : instruments, jeux etc.… (Suggestions bienvenues !)
De créer des liens avec l’école du village…
Nous aimerions pouvoir rencontrer les enseignants et les élèves. Nous savons que parler avec des enfants est un excellent moyen de progresser en espagnol et nous attendons que Guido ait pris contact avec eux pour savoir ce qu’il est possible de partager.
La difficulté sera sans doute qu’ils seront en vacances une grande partie de notre séjour.
En tout cas les enfants espèrent trouver des interlocuteurs de leur âge, et nous espérons aussi que cette rencontre pourra se prolonger par des échanges après notre retour, au Lycée, au Collège !
Et plus largement de découvrir (un peu de) l’Equateur... !
Comme pour le Pérou, il n’est pas question de tout voir, mais de prendre du temps là où nous serons. Tant pis pour L’Amazonie, les plages de la côte ou les Iles Galápagos. Nous resterons dans la Sierra !
Nous atterrissons à Quito et nous suivrons l’ « Avenue des volcans », depuis Otavalo au Nord, jusqu’à Loja au sud. (cf. cartes)
Ce sera aussi un moment de rassemblement à 7 puisque Noël et Heidi nous rejoignent pour les 15 jours de vacances.
Pour finir nous avons programmé une petite folie: retrouver durant la dernière semaine nos amis d’Arequipa en passant la frontière et en traversant le Pérou !
Même si nous allons retrouver avec plaisir un peu de familier avec notre précédente aventure nous savons que ce voyage sera très différent et nous commençons à avoir hâte de nous laisser embarquer dans tout ce que nous n’avons pas prévu, tout ce que nous ne pouvons pas encore imaginer !
Nous savons que ce temps exceptionnel nous fera parcourir des kilomètres mais aussi qu’il sera l’occasion pour chacun d’un cheminement intérieur…
« Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages mais à avoir de nouveaux yeux. »
(Marcel Proust)
